MACAQUE DE BARBARIE EN HIVER

MACAQUE DE BARBARIE EN HIVER

MACAQUE DE BARBARIE EN HIVER

“Macaque de barbarie en hiver” est une œuvre unique réalisée par l’artiste Julie Salmon. Ce tableau est réalisé avec des encres sur du papier marouflé (3 couches) et mesure 32 x 32 cm. Elle présente un macaque de barbarie de face, le regard au loin. Ce portrait est réalisé avec différentes nuances de gris et de noir. 

L’artiste dessine ce dernier par de fines lignes, puis teint certaines zones en gris avec une fine couche d’encre diluée. L’encre permet de réaliser différentes nuances et intensités donnant ainsi du relief à l’animal. Les tons de la composition sont neutres et apportent un aspect réaliste au dessin. Le singe semble vouloir observer les différents mouvements présents devant lui à en juger par son regard intense. Le regard est un élément important dans l'œuvre, car il permet un dialogue entre l'animal et le spectateur qui perçoit les émotions retranscrites dans ce dernier et insuffle de la vitalité.

'Macaque de barbarie en hiver' is a unique and gentle work by artist Julie Salmon. This painting is made with inks on marouflé paper (3 layers) and measures 32 x 32 cm. It presents a macaque of barbaric face, looking at the distance. This portrait is made with different shades of grey and black. 

The artist draws the latter by fine lines, then dyes certain areas in grey with a thin layer of diluted ink. The ink allows to realize different shades and intensities giving relief to the animal. The tones of the composition are neutral and bring a realistic look to the drawing. The monkey seems to want to observe the different movements in front of him judging by his intense look. The gaze is an important element in the work, because it allows a dialogue between the animal and the spectator who perceives the emotions transcribed in the latter and breathes vitality.

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SALMON Julie Voir la page de SALMON Julie

CARACTÉRISTIQUES

Technique(s)
2 encres sur papier marouflé 3 couches
Disponibilité
Non, mais vous pouvez nous contacter pour étudier la réalisation d'une œuvre dans le même goût.
Nombre d'exemplaires
Œuvre originale, pièce unique. Vendue avec un certificat d'authenticité signé par l'Artiste
Encadré
Oui
Dimensions
32 x 32 cm
Format
Petit
Fourchette de prix
0 à 500€

“Macaque de barbarie en hiver” est une œuvre unique réalisée par l’artiste Julie Salmon. Ce tableau est réalisé avec des encres sur du papier marouflé (3 couches) et mesure 32 x 32 cm. Elle présente un macaque de barbarie de face, le regard au loin. Ce portrait est réalisé avec différentes nuances de gris et de noir. 

L’artiste dessine ce dernier par de fines lignes, puis teint certaines zones en gris avec une fine couche d’encre diluée. L’encre permet de réaliser différentes nuances et intensités donnant ainsi du relief à l’animal. Les tons de la composition sont neutres et apportent un aspect réaliste au dessin. Le singe semble vouloir observer les différents mouvements présents devant lui à en juger par son regard intense. Le regard est un élément important dans l'œuvre, car il permet un dialogue entre l'animal et le spectateur qui perçoit les émotions retranscrites dans ce dernier et insuffle de la vitalité.

'Macaque de barbarie en hiver' is a unique and gentle work by artist Julie Salmon. This painting is made with inks on marouflé paper (3 layers) and measures 32 x 32 cm. It presents a macaque of barbaric face, looking at the distance. This portrait is made with different shades of grey and black. 

The artist draws the latter by fine lines, then dyes certain areas in grey with a thin layer of diluted ink. The ink allows to realize different shades and intensities giving relief to the animal. The tones of the composition are neutral and bring a realistic look to the drawing. The monkey seems to want to observe the different movements in front of him judging by his intense look. The gaze is an important element in the work, because it allows a dialogue between the animal and the spectator who perceives the emotions transcribed in the latter and breathes vitality.

BIOGRAPHIE

Julie SALMON a grandi à Budapest, où à priori rien ne la prédestinait à la rencontre avec les animaux. À trois ans, un « exil » d'une année (pour cause d'épidémie) la plonge au cœur du monde rural, au contact étroit des habitants de l'étable : veau, vache, cochons, cheval, poules, chiens et chats. Elle passe les jours d'hiver dans la chaleur de l'étable, dans la mangeoire commune, avec interdiction formelle de quitter ce perchoir à cause du risque d'être piétinée.

Elle connait par cœur l'épi du front de la vache, ses grands cils, ses oreilles mobiles, sa langue râpeuse, son haleine de foin, le doux museau velouté du cheval, l'odeur et le contact délicat des porcelets nouveau nés qu'on lui pose dans les bras comme des poupées. De retour à la capitale les visites du jardin Zoologique prennent le relais

Depuis l'âge de cinq ans elle dessine. Le second exil, le plus déterminant, la conduit en France à dix ans. Les Beaux Arts lui sont interdits, vocation contrariée car « non sérieuse » et elle devient médecin. « Tu verras après.... » Elle exerce l'anesthésie pendant ... toute une vie.

Durant sa pratique hospitalière l'illustration médicale fournit la solution de remplacement : films d'animation et manuels d'anesthésie loco-régionale portent sa griffe. Pour échapper au carcan de l'illustration elle se tourne vers le dessin du nu, (« anatomie du corps humain ») d'après modèle vivant, à l'École des Arts Décoratifs de Strasbourg, en auditrice libre. Lors d'un séjour de deux années au Québec, Lorraine Bénic l'initie à la gravure en creux dans son atelier de l'UQUAM.

De ses fréquents voyages en Afrique de l'ouest et au Kenya elle rapporte une moisson d'images qui la hantent : l'Afrique, ses gens, ses animaux. Ils seront ses sources : croquis et photos dormiront jusqu'à la retraite.

Fin 2009 elle prend sa retraite et se consacre entièrement au dessin à la peinture et à la gravure (taille douce et gravure en relief).
Nus et portraits d'après modèle vivant sont ses « gammes », les animaux ses travaux aboutis.

Sa première exposition a eu lieu en octobre 2011 à l'IRCAD à Strasbourg (Institut de Recherche contre les Cancers de l'Appareil Digestif), devant l'équipe qui l'a connue comme médecin anesthésiste.