Zèbre de Grevy, Julie Salmon, Animal Art, Art Animalier, Safari photo Samburu Kenya

ZÈBRE DE GRÉVY QUI SE ROULE

ZÈBRE DE GRÉVY QUI SE ROULE

ZÈBRE DE GRÉVY QUI SE ROULE

"Lorsque les équidés se roulent ils sont dans une position très « fragile » et c’est vraiment émouvant de les voir s’adonner à cet exercice dont ils tirent un grand plaisir, même s’ils se mettent en danger.

L’espèce est menacée. Par la modification de leur biotope et la pression de pâturage des troupeaux autochtones

Cette scène se passait dans la réserve de Samburu, au Kenya, où la poussière et la lumière sont dorés. 

L’image m’a été inspirée par une série de photos de Jacques Montanari, dans cet endroit que je connais si bien."

Julie SALMON

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SALMON Julie Voir la page de SALMON Julie

CARACTÉRISTIQUES

Technique(s)
Gravure
Disponibilité
Oui, l'œuvre est disponible
Nombre d'exemplaires
Œuvre originale - Tirage limité, numéroté et signés par l'Artiste
Encadré
Oui
Dimensions
72 x 120 cm
Dimensions avec le cadre
80 x 130 cm
Format
Grand
Fourchette de prix
1 000 à 2 000€

"Lorsque les équidés se roulent ils sont dans une position très « fragile » et c’est vraiment émouvant de les voir s’adonner à cet exercice dont ils tirent un grand plaisir, même s’ils se mettent en danger.

L’espèce est menacée. Par la modification de leur biotope et la pression de pâturage des troupeaux autochtones

Cette scène se passait dans la réserve de Samburu, au Kenya, où la poussière et la lumière sont dorés. 

L’image m’a été inspirée par une série de photos de Jacques Montanari, dans cet endroit que je connais si bien."

Julie SALMON

BIOGRAPHIE

Julie SALMON a grandi à Budapest, où à priori rien ne la prédestinait à la rencontre avec les animaux. À trois ans, un « exil » d'une année (pour cause d'épidémie) la plonge au cœur du monde rural, au contact étroit des habitants de l'étable : veau, vache, cochons, cheval, poules, chiens et chats. Elle passe les jours d'hiver dans la chaleur de l'étable, dans la mangeoire commune, avec interdiction formelle de quitter ce perchoir à cause du risque d'être piétinée.

Elle connait par cœur l'épi du front de la vache, ses grands cils, ses oreilles mobiles, sa langue râpeuse, son haleine de foin, le doux museau velouté du cheval, l'odeur et le contact délicat des porcelets nouveau nés qu'on lui pose dans les bras comme des poupées. De retour à la capitale les visites du jardin Zoologique prennent le relais

Depuis l'âge de cinq ans elle dessine. Le second exil, le plus déterminant, la conduit en France à dix ans. Les Beaux Arts lui sont interdits, vocation contrariée car « non sérieuse » et elle devient médecin. « Tu verras après.... » Elle exerce l'anesthésie pendant ... toute une vie.

Durant sa pratique hospitalière l'illustration médicale fournit la solution de remplacement : films d'animation et manuels d'anesthésie loco-régionale portent sa griffe. Pour échapper au carcan de l'illustration elle se tourne vers le dessin du nu, (« anatomie du corps humain ») d'après modèle vivant, à l'École des Arts Décoratifs de Strasbourg, en auditrice libre. Lors d'un séjour de deux années au Québec, Lorraine Bénic l'initie à la gravure en creux dans son atelier de l'UQUAM.

De ses fréquents voyages en Afrique de l'ouest et au Kenya elle rapporte une moisson d'images qui la hantent : l'Afrique, ses gens, ses animaux. Ils seront ses sources : croquis et photos dormiront jusqu'à la retraite.

Fin 2009 elle prend sa retraite et se consacre entièrement au dessin à la peinture et à la gravure (taille douce et gravure en relief).
Nus et portraits d'après modèle vivant sont ses « gammes », les animaux ses travaux aboutis.

Sa première exposition a eu lieu en octobre 2011 à l'IRCAD à Strasbourg (Institut de Recherche contre les Cancers de l'Appareil Digestif), devant l'équipe qui l'a connue comme médecin anesthésiste.